Abstract
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This article analyses the performative and lived realities of the Zimbabwean diaspora in Britain. The author explores the way in which both public and private spaces of the diaspora are important arenas in the construction and reconstruction of gendered identities. It is based on multisited ethnography, comprising 33 in-depth interviews and participant observation in four research sites, and draws upon concepts of diaspora and transnationalism as theoretical and analytical frameworks. The findings suggest that the challenges to patriarchal traditions in the hostland in terms of women's primary migrant status and financial autonomy, the different labour market experiences of men and women, and egalitarian laws have caused tensions and conflict within diaspora households. The article examines how men use religious and social spaces, which provide for the affirmation of more traditional roles and relations, as a form of public resistance to changes happening within the domestic sphere. Cet article analyse les réalités de la diaspora zimbabwéenne en Grande-Bretagne telles qu'elles sont vécues ou représentées. L'auteur explore la voie par laquelle les espaces tant publics que privés sont des arènes importantes dans la construction et la reconstruction des identités de genre. Il est basé sur une ethnographie multi-sites, comprenant 33 entretiens poussés et l'observation participante dans quatre sites de recherche, et en tire les concepts de diaspora et de trans-nationalisme comme des structures théoriques et analytiques. Les découvertes suggèrent que les défis aux traditions patriarcales dans le pays d'accueil en termes de statut principal de migrant et d'autonomie financière des femmes et que les expériences différentes sur le marché du travail des hommes et des femmes et les lois égalitaires ont causé des rapports tendus et conflictuels dans les ménages de la diaspora zimbabwéenne. L'article examine comment les hommes utilisent les espaces religieux et sociaux pour affirmer des rôles et des relations plus traditionnels comme une forme de résistance publique aux changements intervenant dans la sphère privée. This article analyses the performative and lived realities of the Zimbabwean diaspora in Britain. The author explores the way in which both public and private spaces of the diaspora are important arenas in the construction and reconstruction of gendered identities. It is based on multisited ethnography, comprising 33 in-depth interviews and participant observation in four research sites, and draws upon concepts of diaspora and transnationalism as theoretical and analytical frameworks. The findings suggest that the challenges to patriarchal traditions in the hostland in terms of women's primary migrant status and financial autonomy, the different labour market experiences of men and women, and egalitarian laws have caused tensions and conflict within diaspora households. The article examines how men use religious and social spaces, which provide for the affirmation of more traditional roles and relations, as a form of public resistance to changes happening within the domestic sphere. Cet article analyse les réalités de la diaspora zimbabwéenne en Grande-Bretagne telles qu'elles sont vécues ou représentées. L'auteur explore la voie par laquelle les espaces tant publics que privés sont des arènes importantes dans la construction et la reconstruction des identités de genre. Il est basé sur une ethnographie multi-sites, comprenant 33 entretiens poussés et l'observation participante dans quatre sites de recherche, et en tire les concepts de diaspora et de trans-nationalisme comme des structures théoriques et analytiques. Les découvertes suggèrent que les défis aux traditions patriarcales dans le pays d'accueil en termes de statut principal de migrant et d'autonomie financière des femmes et que les expériences différentes sur le marché du travail des hommes et des femmes et les lois égalitaires ont causé des rapports tendus et conflictuels dans les ménages de la diaspora zimbabwéenne. L'article examine comment les hommes utilisent les espaces religieux et sociaux pour affirmer des rôles et des relations plus traditionnels comme une forme de résistance publique aux changements intervenant dans la sphère privée.
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