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" ‘Enigmas So Occult Tat Oedipus Might Be Puzzled To Solve Tem’: "
Jonathan Shirland
| Document Type
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:
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AL
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| Record Number
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:
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1064652
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| Doc. No
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:
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LA108281
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| Call No
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:
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10.1163/15700593-01301005
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| Language of Document
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:
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English
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| Main Entry
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:
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Jonathan Shirland
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| Title & Author
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‘Enigmas So Occult Tat Oedipus Might Be Puzzled To Solve Tem’: [Article] : Whistler, Spiritualism Occulture in Late Victorian England\ Jonathan Shirland
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| Publication Statement
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:
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Leiden: Brill
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| Title of Periodical
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:
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Aries
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| Date
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:
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2013
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| Volume/ Issue Number
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:
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13/1
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| Page No
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:
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71–102
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| Abstract
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Les engagements de Whistler avec le spiritisme étaient un aspect important de son personnage pendant ses trente années finales et on a souvent discuté ses peintures comme la fonction de pratique spirite et des phénomènes. Cet article explore l’utilité du concept de «Occulture» (selon Christopher Partridge) pour comprendre les associations de Whistler avec le spiritualisme, l’élaboration discursive de ses oeuvres, et l’utilisation de ses peintures par des gens divers avec des intérêts idéologiques divergent dans ésotérique et spiritualités alternatives. Sa notion de l’occultisme comme «ordinaire», l’accent qu’il met sur les actes de bricolage spirituelles et religieux, et les façons dont sa formulation d’une «communauté invisible» responsable de l’occultisme conteste la tendance à détacher la culture visuelle «spirituel» et «mystique» des luttes de pouvoir sociales et politiques sont tous examinés. Je souligne le flou complexe du christianisme et l’occultisme dans l’art de Whistler et ses éditoriaux, les changements importants dans le discours critique qui entoure ses oeuvres entre 1860 et 1900, et les façons dont ses productions visuelles ne doivent pas être considérées comme des sites de numineux expérience authentiques que les espaces où les frontières entre le sacré et le profane, le religieux et le spirituel ont été négociés et souvent re-tiré. Les engagements de Whistler avec le spiritisme étaient un aspect important de son personnage pendant ses trente années finales et on a souvent discuté ses peintures comme la fonction de pratique spirite et des phénomènes. Cet article explore l’utilité du concept de «Occulture» (selon Christopher Partridge) pour comprendre les associations de Whistler avec le spiritualisme, l’élaboration discursive de ses oeuvres, et l’utilisation de ses peintures par des gens divers avec des intérêts idéologiques divergent dans ésotérique et spiritualités alternatives. Sa notion de l’occultisme comme «ordinaire», l’accent qu’il met sur les actes de bricolage spirituelles et religieux, et les façons dont sa formulation d’une «communauté invisible» responsable de l’occultisme conteste la tendance à détacher la culture visuelle «spirituel» et «mystique» des luttes de pouvoir sociales et politiques sont tous examinés. Je souligne le flou complexe du christianisme et l’occultisme dans l’art de Whistler et ses éditoriaux, les changements importants dans le discours critique qui entoure ses oeuvres entre 1860 et 1900, et les façons dont ses productions visuelles ne doivent pas être considérées comme des sites de numineux expérience authentiques que les espaces où les frontières entre le sacré et le profane, le religieux et le spirituel ont été négociés et souvent re-tiré.
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| Descriptor
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:
|
Nineteenth-century
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| Descriptor
|
:
|
Occulture
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| Descriptor
|
:
|
Painting
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| Descriptor
|
:
|
Spiritualism
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| Descriptor
|
:
|
Victorian
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| Descriptor
|
:
|
Whistler
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| Location & Call number
|
:
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10.1163/15700593-01301005
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